Les spectateurs s’installent confortablement, sous un plaid ou un transat, les yeux vers les étoiles… ou clos, à leur guise. L’important, c’est d’être prêt pour un voyage poétique.
Sur une musique de Max Richter, Cassiopeia, des voix murmurent, chuchotent, susurrent des poèmes emplis de lumière, de chaleur et d’espoir. Des mots pour rallumer les étoiles et apaiser un monde en perte de repères.
Que serait une vie sans poésie ? Une rivière sans eau, un printemps sans fleurs, une tartine sans...